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Meadley O'Sullivan

1ère année

Meadley O'Sullivan


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© Crédit kit : Moi
Pépites : 36
Date d'inscription : 02/01/2013

♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. » Empty
MessageSujet: ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. »   ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. » EmptyJeu 3 Jan - 10:46



• PRÉNOM & NOM ORIGINEL | Meadley O'Sullivan
• SEXE & ORIENTATION | Féminin & Bisexuelle
• ÂGE | 12 ans
• LIEU DE NAISSANCE | Californie – Los Angeles.
• SURNOM (NOM DE SCENE) | Haha..Pas besoin !
• GROUPE & SPÉCIALITÉ | Cerebrum Scientifique
DESCRIPTION PHYSIQUE & MENTALE

I'm sexy and I know it °

Génie – Garçon manqué – Sarcastique – Râleuse – Casse-cou – Téméraire – Moqueuse – Brute – Trop franche – Réticente aux câlins – Réticente au surnaturel – Maladroite – Provocatrice – Sûre d'elle – Têtue – Sportive – Forte – Bruyante – Gourmande – Virtuose – Violente – Amicale – Charismatique – Influente – Stratège – Très peu argumentative – Énergique – Sauvageonne – Compétitive – Surexcitée – Impulsive.

Difficile de croire que cette fille est un génie, elle, Meadley, la brute qu'on prendrait facilement pour un garçon, la brute incapable de montrer le moindre signe d'affection, la brute casse cou incapable de tenir sur une chaise sans jouer à la balançoire avec, incapable de passer devant un magasin qui vend des pétards sans en acheter, incapable de ne pas mettre sa vie en danger moins de cinq minutes. Meadley est compétitive, Meadley est sûre d'elle, Meadley est fière. Elle se conduit toujours en vrai garçon manqué, et c'est le prix à payer lorsque l'on a trois grands-frères aussi craignos qu'elle. Meadley, elle est assez cinglée dans son genre, c'est une O'Sullivan, après tout ! Timide, elle reculera devant toutes les marques d'affection et préfère rouer de coups plutôt que câliner son prochain. Aussi, Meadley se plaint tout le temps, c'est une râleuse, elle est incapable de se retenir de se plaindre ou de râler quelques secondes sans avoir une tête de psychopathe, incapable de tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler, incapable de mesurer l'étendue de ses mots. Elle agit avant de réfléchir, elle fait ce qu'elle pense et ne pense pas à ce qu'elle fait, elle est comme ça, elle est franche, elle manque de tact. D'ailleurs, en parlant de franchise, cela va parfois jusqu'à frôler l'insolence. Meadley n'aime pas la fragilité, Meadley n'aime pas les faible, elle n'aime pas les filles, les cruches, les pleurnichardes. Et elle se moque ouvertement d'elles. D'ailleurs, en matière de moqueries, de provocations et de remarques pire que sarcastiques, Meadley est sûrement la plus douée au monde. Adepte de la moquerie et du sarcasme et reine de la provoc', elle ne manquera jamais une occasion de faire part de son mécontentement en râlant à la figure d'autrui. Néanmoins, elle n'en est pas moins amicale, son petit côté sauvage est charmant et son manque cruel d'arguments est plutôt comique. Aussi, la demoiselle fait une étrange fixation sur les culottes. Elle n'aime pas s'encombrer de sous-vêtements et ne porte donc rien sous ses bas, mais elle attache une importance particulière à celles des autres personnes. Ah, et, étant la petite soeur de trois garçons pas vraiment des doux, Meadley a prit l'habitude de faire des crasses, ou de se défendre comme elle peut, c'est à dire, grâce à l'éternel « C'est pas moi ! ». Elle sait également très bien manipuler les autres personnes lorsqu'elle peut en tirer profit et a tendance à être assez paranoïaque, après toutes les années de persécutions de la part de ses frères.

Cet étrange énergumène n'a pas loin, voire plus de 200 de quotient intellectuel, mais elle le renie, elle préfère de loin le sport et la bagarre. Psychiquement, elle n'a rien d'un génie, ou presque, elle est « génie malgré elle », si j'ose dire, et voit donc son intelligence hors du commun comme une tare, un fardeau à supporter et la nouvelle source de moquerie de ses frères. Pourtant, on remarque bien là son génie lorsqu'elle apprend de nouvelles choses. Meadley est une virtuose, elle sait jouer de la musique quel que soit l'instrument qu'on lui met entre les mains, et apprend donc à jouer extrêmement vite. Aussi, elle est capable de retenir ce qu'elle lit ou vit durant une très longue durée, et se rappelle donc très bien du jour de ses cinq ans, par exemple, ou de la fois où son père a oublié les clés au magasin, voire du nombre de rides de sa grand-mère ou, pire, le nombre de personnes qu'elle a salué le premier vendredi d'il y a deux mois, voire le nombre de pétales de la fleur qu'elle a écrasé hier. Meadley est un génie, et elle ne s'en rend même pas compte..presque pas. Elle préfère de loin le sport, ah ça oui. Elle est très forte aussi, en sport, quel que soit le sport, tant que ça bouge, tant qu'elle gagne, tant qu'elle rivalise. Le problème est qu'elle est une assez mauvaise perdante et cherchera donc à chercher une quelconque triche de la part de ses adversaires à la moindre de ses défaites.

Cheveux mi-longs de couleur blonde-paille – Yeux verts pommes – 1m38 – 32kg – Fine et élancée – Passe très facilement pour un garçon – A encore des rondeurs de bébé – A toujours un air irrité ou compétitif – Un teint légèrement bronzé contrastant avec sa couleur de cheveux – De légères tâches de rousseur presque invisible – Possède un grain de beauté sur chaque fesse et une tâche de naissance en forme de...tâche sur la cuisse gauche – Musclée et robuste – Aucun tatouage, aucun piercing, pas de boucles d'oreilles – Porte constamment des vêtements ayant appartenu à ses frères aînés – A toujours une tonne de pansements et bandages suite à ses blessures de guerre.

QUESTION / RÉPONSE

I feel so crazy to night °
Q : Depuis combien de temps êtes-vous arrivez à Kyogi ?
R : « Depuis un mois, cinq jours, huit heures et trente-et-une minutes, exactement. C'était un Samedi, il pleuvait et je portais un sweat orange à capuche avec un imprimé imitant les maillots de basket, piqué à l'un de mes frères, avec un short bleu, des chaussettes blanches et une chaussure bleue, piquée aussi à l'un de mes frères... il avait l'autre. Et une casquette...aussi piquée à l'un de mes frères. Si je me souviens bien, j'avais trois pansements, un sur le nez, un autre sur la joue et un troisième sur le front, et aussi un bandage sur le bras droit parce qu'un de mes frères avait essayé de me faire descendre les escaliers de la cave à vélo. J'avais aussi un énorme pansement sur le genoux droit, ça c'était parce qu'un autre de mes frères m'avait roulé pour que j'aille chercher le ballon dans l'arbre. Il disait que si j'allais le chercher ils joueraient tous avec moi et p... »

Q : Comment s'est passé votre examen ?
R : « Bien. C'était un examen normal, quoi. Pourquoi y'avait pas une épreuve Sport ? »

Q : Quelle a été votre première impression ?
R : « Euh... J'ai demander aux gens autour Pourquoi y'avait pas d'épreuve Sport ? »

Q : Pourquoi avoir choisi ce surnom ?
R : « Quel surnom ? »

Q : D'après vous, quelles sont vos capacités pour réussir ?
R : « Réussir quoi ? Non mais vous inquiétez pas, je réussirais à me venger de ces crétins de grands frères débiles et méchants, ils vont mordre la poussière. Pour une fois que mon cerveau me servira à quelque chose. Et sinon, vous aimez les pop-corns ? »

Q : Que pensent les autres élèves de vous ? Et les Deos ?
R : « Les adultes m'aiment parce que je suis un génie, mais je sais pas trop ce qu'ils attendent de moi, je préfère le sport de toute façon. Comme je suis très avancée mentalement, d'après eux, et que j'ai donc sauté pas mal de classes avant de me retrouver ici, je suis une des plus jeunes du pensionnat, pour ne pas dire la plus jeune, en fait, du coup je suis chouchoutée, de parce que je suis la plus jeune et en plus parce que je suis un génie. Et ça fait de moi la chouchoute, celle qu'on aime, qu'on chérie, et même que des fois, les petits oiseaux chantent pour moi et les nuages écrivent mon nom. Les autres élèves sont gentils avec moi, mais je ne saurais pas dire qui parce que j'arrive même pas à la poitrine du plus petit d'entre eux. »

Q : Êtes-vous passé par la chirurgie ?
R : « Je suis pas censée le dire mais...mes oreilles. Ah ! Et sinon, vous aimez le piano ? C'est très beau le piano. Et les jeux vidéos aussi ? C'est cool aussi, les jeux vidéos, à la maison mes frères me laissaient jamais y jouer alors je les regardais perdre en mangeant des canards en sucre et en buvant du soda, et même que des fois, ils me laissaient éteindre la console quand ils avaient fini de jouer, c'était mes seuls contacts physiques avec les jeux qu'on avait. »
RACONTER VOTRE HISTOIRE

Once upon a time, I... °
Ils étaient quatre gamins, quatre gamins plus que farfelus, avec des parents plus que farfelus, un entourage plus que farfelu et un poisson rouge qui ne dura, malheureusement, que deux jours. Au début, Georges O'Sullivan et Jill Suzan Parker n'étaient que deux gamins sans aucun espoir, deux gamins qui s'étaient rencontrés au lycée lorsque Jill avait confondu les toilettes des filles et les toilettes des hommes. Têtue, la jeune femme avait harcelé, battu, menacé de mort et accablé de reproches le pauvre Georges qu'elle avait sans aucun mal fait avouer qu'il était un pervers venu espionner les filles dans leurs toilettes. Alors que c'était la petite Jill qui avait tort. Peu importe, c'est de cette folle hystérique et violente que Georges tomba éperdument amoureux, alors qu'il se faisait rouer de coups et harceler par la furie qu'est maintenant la femme de sa vie, et cet amour était réciproque, car Georges n'était pas très bien non plus dans sa tête. Il avait un côté maladroit, trouillard et grand-gamin qui faisait ressortir en Jill le côté maternel qu'elle n'avait pas. Leur folie était grande mais leur amour l'était cent fois plus, et c'est de ces deux cinglés que naquirent quatre enfants, tous aussi cinglés que leurs parents.

D'abord, il y avait Kennedy, dit Kenny. Petit, il avait massacré la maison au feutre, fait exploser les toilettes, organisé des concours de cascades dans la décharge publique et lâché un couple de rats dans le grenier. Les bêtes se sont tellement multipliées qu'ils en arrivaient à marcher dessus lorsqu'ils étaient au rez-de-chaussée. Plus vieux, il passait ses journées à la gendarmerie ou en taule, ou bien à essayer d'échapper aux flics, bien que ces derniers arrivaient sans difficulté à l'arrêter, même si pour ça ils étaient obligés d'avoir recours aux paralysants. D'où l'expression de ses frères et de sa sœur « Oh les salauds, ils ont buté Kenny », qui étaient bien amusés de voir la scène et ne l'aidaient en aucun cas.
Trois ans après vint Jayson, il suivait la même voie que son frère aîné, mais avec la stupidité et la violence en plus. Il frappait tout, absolument tout, il se bousillait les mains sur les murs et sur les visages des autres, enfants et hommes, il épargnait cependant les femmes par peur de s'en prendre une par Kenny. Jayson, c'est le débile qui essaie de mater les filles dans les vestiaires, qui tente de dégrafer votre soutien-gorge derrière vous en cours, qui rit comme un attardé mental et qui n'a pas une once d'avenir. Jayson, il pense jamais à rien, il met constamment sa vie en danger, il a pas d'amis, il est complètement débile. Mais en fait, Jayson, c'est juste un gars un peu timide qui cherche à se faire aimer, sans jamais avoir le moindre succès.
Phillip, que tout le monde appelait Phil, était le troisième à être venu au monde, deux ans après Jayson. Il était distant et silencieux aux premiers abords, mais s'avérait être assez énergique et casse-cou par la suite, comme ses deux autres frères. Il pouvait parfois faire preuve d'une franchise qui semblait souvent cruelle et difficile à entendre, et n'était pas doué pour réconforter les autres. A défaut, il savait très bien les enfoncer. Les larmes, les supplices, ou bien la joie et la tendresse ne semblaient pas vraiment l'atteindre et il avait d'ailleurs tendance à fuir toutes les marques d'affection. Il était d'une nature peu indulgente et assez rancunière, sa confiance était dure à obtenir et si facile à perdre.
La dernière vint quatre ans après Phillip et fut nommée Meadley. Elle était la dernière, la petite chouchoute, celle à qui on disait que l'existence même était un cadeau à l'humanité, celle à qui on répétait sans cesse qu'elle était une gentille fille, celle qui se faisait punir le moins souvent par rapport à ses frères mais qui passait quand même la plupart du temps au coin. Et Meadley, c'était en particulier celle qui se faisait martyriser sans vergogne par ses imbéciles de frères aînés, ce qui lui forgea très vite une personnalité de parano et manipulatrice. Elle était toujours sur la défensive ou prête à se venger de ses aînés machiavéliques qu'elle voyait comme des tortionnaires. Mais ça ne l'empêchait pas de marcher dans leurs conneries.

« Hé, mais attend, Meadley...ça, c'est ma chemise ! »
« ...Ah bon ? »
« Rend-la moi ou j't'arrache les dents de lait ! »

Depuis toujours, Papa et les frangins traitaient Meadley comme un garçon, et elle ne s'en plaignait pas, au contraire. Ainsi, elle savait se battre comme un garçon, manger comme un garçon, être sale comme un garçon, faire du sport aussi bien qu'un garçon et vivre comme un garçon, entourée de garçons, et ce malgré les protestations de sa mère qui aurait bien aimé, une fois dans sa vie, faire du shopping avec sa petite fille. Mais c'était un rêve impossible, Meadley râlait tout le temps dans les magasins et n'aimait que les habits de ses frères, alors on les lui refilait lorsqu'ils ne leur allaient plus.

« Bon, alors t'es prêt ? Répète-moi encore c'que je t'ai dit ! »
« Tout, même les coups bas. »
« EXACTEMENT ! Même les coups bas, mets lui la pâtée ! »

Les garçons et Meadley se battaient quasiment la plupart du temps, entre eux ou avec d'autres gosses du quartier, et, bien que Meadley soit une fille, elle n'échappait pas à la règle des O'Sullivan, c'est-à-dire : « Tous les coups sont permis. ». Et la demoiselle avait donc la particularité de ne pas souffrir des roubignoles à chaque bagarre, puisqu'elle n'en avait point. Déjà gamins, les O'Sullivan ne manquaient pas d'insolence et ils prenaient un très grand plaisir à s'en prendre aux plus forts, chose totalement idiote puisqu'ils n'avaient aucune chance. Ces plus forts organisaient donc une bagarre pour la vengeance dans le quartier, là où tous les enfants se rejoignaient pour parier, et aujourd'hui, c'était au tour de la petite Meadley de morfler, ou de faire morfler. Coachée par ses frères, elle les connaissait cependant plus que bien et savait mieux que personne que ses lâches de grands-frères ne l'aideraient en aucun cas si elle se faisait ratiboiser sa jolie p'tite gueule d'ange. Elle ne pouvait donc compter que sur les conseils de ces derniers qui en savaient déjà un rayon sur l'art de tabasser les autres.

« On parie sur toi, mais j'te préviens que si tu perds et qu'on perd tout notre fric, on t'fait un deuxième nez ! »
« Vous avez même pas d'argent. Comment vous allez faire si vous perdez le pari ? »
« On s'fera la malle avant de devoir filer le pognon, mais t'inquiète pas pour ça parce que tu gagneras, champion ! »

Les gamins se rassemblèrent et se mirent à parier. Comme des humains normalement constitués, on paria le plus sur le plus grand, donc l'adversaire de Meadley. Une chose était sûre, c'est que si elle gagnait, Meadley et ses frères amasseraient un max de pognon. Mais, évidemment, la gamine haute comme trois pommes perdit, non sans avoir bien amoché son adversaire. Pour sauver le coup, ses frères, qui avaient parié gros sans avoir une seule pièce dans leurs poches, prirent la gamine pleine de bleus sous le bras et se tirèrent en vitesse, non s'en s'esclaffer malgré la défaite. Jusqu'à ce que leur mère arrive, rouge comme une tomate, tellement en pétards qu'elle menaçait ses fils avec le couteau à beurre qu'elle brandissait dans sa main telle une psychopathe. Elle était révoltée et manqua de s'étouffer plusieurs fois avant d'assaillir les garçons de reproches tout en tirant Meadley par le bras et en nettoyant brutalement les plaies de la petite avec sa bave qui répugnait Meadley et les garçons plus qu'autre chose. Sur le coup, elle ne savait pas très bien qui elle allait tuer en premier.

« Mais je rêve ! Tu t'es battue ? Vous l'avez laissé se battre ? Non mais vous vous rendez compte ? Une petite fille qui se bat ! Tu n'as pas honte, Meadley ? Et vous ! Vous êtes ses grands-frères, pourquoi vous ne l'avez pas empêchée ! »
« Mais Maman... »
« C'est bon, j'en ais assez entendu, j'en ais ras-le-bol de vous, filez dans votre chambre ! »

Et, sans plus attendre, sans protester, ils filèrent dans leur chambre, sans dire un mot de plus, sans se révolter. Même si elle ne l'avait pas dit, ils étaient sûrement privés de dessert, de sortie et de sucreries pendant des semaines... Enfin, c'était ce genre de vie que Meadley menait là, alternant entre le sport et les bagarres, ainsi que les journées télé-pyjama, les prises de tête et les méchants coups de crasse entre frères, les sabotages de contrôle et les piquage de petite-amie, c'était le quotidien de Meadley, et elle avait pas besoin d'autre chose. Les garçons magouillaient, elle rentrait dans le jeu, et elle était souvent celle qui aidait le plus sans jamais rien obtenir en retour, alors pour se venger elle faisait des coups de crasse à ses frères et leur bêtise se retournait contre eux. En tant que petite dernière, balancer les conneries de ses frères était aussi une chose amusante.

« Bon, alors voilà, Meadley, tu vas enfiler ta grenouillère et... »
« Je porte plus de grenouillère ! »
« Tu préfère qu'on reste fauchés toute notre vie ? »

Alors elle grommelait, elle râlait, elle bougonnait, avant d'accepter tout en levant tout de même les yeux au ciel, un peu à contrecœur. C'était toujours elle qui se « sacrifiait pour l'équipe ». Kenny l'en félicitait souvent et lui promettait toujours une bonne glace après avoir bien travaillé, mais Jayson et Phillip n'étaient pas du même avis et l'exploitaient ouvertement. Phillip trouvait toujours les mots pour obtenir ce qu'il voulait de sa sœur benjamine, et Jayson, il avait les poings, poings que la blondinette redoutait plus que tout. Du coup, elle marchait dans les combines, dans les arnaques, dans les bêtises et, bien qu'elle prétende assez souvent s'être faite manipuler pour ne pas être punie comme ses frères, cela lui plaisait vraiment de faire des conneries avec eux. C'était drôle, et souvent anodin, bien que dangereux pour eux parfois, ils ne faisaient rien de mal, ils s'amusaient. En tant que la plus jeune, Meadley était souvent amenée à séduire les autres avec ses sourires pour en tirer profit, à faire sa p'tite gueule d'amour pour les arnaquer, ou bien pour éviter d'être punie. Il lui suffit de faire ses yeux doux au voisin et de lui dire d'une voix douce et timide « Veuillez excuser mes frères » pour qu'ils soient tous immédiatement excusés. Ou presque. Cependant, avec Meadley, ça n'était jamais gratuit. Ainsi, pour obtenir sa « protection », ses grands-frères étaient souvent obligés de sortir un gros billet ou de lui promettre fidélité et servitude en échange.

« Vous voulez que je vous raconte mon histoire ? Alors voilà, je suis le petit dernier d'une famille de quatre enfants, j'ai jamais ce que je veux à manger parce que les autres prennent tout, j'ai même pas un lit à moi et je porte les vêtements de mes grands frères, vieux et tout déchirés. Depuis pas longtemps, mon père a eu une maladie mortelle, c'est une conjonctivite dorsale. Il est mort et vous savez, c'est pas facile d'être mère veuve de monstres diaboliques comme mes frères, alors ma mère leur pardonne tout, ils ont tout et moi j'ai rien parce que je suis le plus petit et que je passe toujours en dernier, moi je dois rien dire et jamais faire de bêtises, je suis le plus gentil et pourtant on me gronde tout le temps parce que c'est moi le plus jeune, alors je paye pour mes frères. Et aujourd'hui, ma mère est malade et mes frères m'ont chassé, je suis tout seul, j'ai même plus de maison, et pourtant je ne me plains jamais... »
« Ooooh, pauvre chéri... »
« Tiens, ça a l'air bien c'truc. »
« Stanley ! Donne-lui ton jouet immédiatement ! »

Je pense que vous comprenez vite la combine. Vêtue d'un air plus qu'adorable, couverte de bleus et de pansements suite aux nombreuses bagarres, les yeux embués de fausses larmes hypocrites, la petite Meadley n'avait aucun mal à mentir en racontant une histoire d'orphelin sans famille aux frères monstrueux et cruels. Alors, les gens, comme des moutons, venaient se rassembler autour d'elle pour écouter attentivement la petite Meadley narrer son histoire presque totalement inventée. Touchés et émus, ils repartaient souvent, un pincement au cœur et, alors que la gamine avait déjà gagné quelques pièces et un ou deux jouets, Kenny, Jayson et Phil se ruaient vers les passants ayant écouté l'histoire en quémandant quelques petites pièces, un ou deux billets pour aider le pseudo-orphelin à tenir le coup.

« Bonjour monsieur, c'est pour le petit orphelin qui n'a plus de maison... »
« ...Donnons-lui au moins une chance de s'en sortir, de manger un peu... »
« ...Peut-être que demain, il sera mort de froid ou de faim ! Soyez généreux. »

Il leur arrivait souvent de récolter une somme importante d'argent, avec quoi ils s'achetaient ce qu'ils voulaient, bien que leurs bêtises étaient souvent découvertes et jamais impunies. Pour se sortir de la masse de passants autour d'elle, Meadley n'avait souvent qu'à mentir sur le fait que sa mère l'attendait pour qu'elle la soigne, que ses frères ne la laisseraient pas rentrer et donc qu'elle devait rentrer en cachette, ou autres bobards plus gros qu'elle de ce genre. Et là, les passants se mettaient à chuchoter comme quoi elle était forte et courageuse, ou autres compliments niais de ce genre.

« Hahaha, t'as été génial, Meadley ! Tu mens comme tu respires, c'est géant ! On a récolté plein de fric grâce à toi ! »
« Je veux ma part ! »
« Tu rigoles ? On est les plus grands et c'est moi qui ait eu l'idée, t'auras rien du tout ! »
« Vous êtes méchants ! Peut-être que Maman aurait envie de savoir qui a cassé son vase, qui a mit le feu au canapé, qui a mit sa robe de soirée dans la cuvette des WC et qui a tué Pépé mon poisson rouge avant de le donner au chat du voisin ! »
« Okay, okay, t'auras ta part ! »

Meadley, ou l'art de la persuasion par les menaces. Elle connaissait ses frères et savait bien que leur mère était capable des pires choses pour les punir. Elle était déjà hors d'elle lorsqu'elle trouvait leurs conneries, et leurs conneries camouflées par d'autres conneries, alors lorsqu'elle arrivait à pêcher le coupable, c'est à peine si l'on pouvait voir un sourire diabolique s'étendre sur sa figure, des cornes pousser sur son crâne et des ailes de diable dans son dos. En bref, elle faisait peur à ses enfants, à son mari, à n'importe qui, lorsqu'elle se mettait en colère. Mais ça ne les empêchait pas de la fâcher constamment. Et Meadley, reine de la balance, s'amusait particulièrement à menacer ses frères pour obtenir ce qu'elle voulait, bien qu'ils lui faisaient toujours payer les coups de crasse, puis elle se vengeait, et c'en devenait un éternel recommencement, un cercle vicieux.

« Meadley ? Ta mère et moi avons reçu un courrier de ton école, ils veulent te faire sauter trois classes, ton niveau est bien trop avancé, tu es sûre que tu n'as pas échangé tes résultats avec ceux d'une autre personne ? »
« Moi je dis qu'ils se sont trompés de destinataires. »
« Quoi qu'il en soit, ils disent qu'ils vont te faire passer des tests, promet-nous de ne pas sécher ces tests, de ne pas brûler les tests et de ne pas donner les tests à tes frères pour qu'ils te fasse échouer. »
« ...Promis, Maman... »

Vers ses dix ans, on remarqua, assez très tardivement, que la petite Meadley, bien qu'elle ne le paraisse absolument pas, était un génie. Un génie, un génie au Q.I carrément sur-élevé, elle dépassait, dit-on, la barre des 200. Il était vrai qu'elle apprenait plus vite que les autres enfants, bien que sa croissance en soit affaiblie, et qu'elle savait calculer des calculs improbables de tête, sans utiliser la calculette et à une vitesse folle. Elle raisonnait aussi incroyablement bien, et avait une mémoire incroyable. Et pourtant, il n'y avait rien d'autre que le sport, les conneries et la bagarre qui l'intéressaient.

Quelques années plus tard, la famille déménagea au Japon. Une de leurs tantes s'était mariée à un Japonais, ce qui avait poussé la moitié de la famille à la suivre au Japon, au grand malheur des enfants qui n'étaient pas vraiment très enchantés à l'idée de découvrir une nouvelle culture et de nouveaux plats. Ainsi qu'une nouvelle langue. De plus, depuis une vingtaine d'année, le Japon était en période de crise, et le petit quartier où la famille O'Sullivan déménageait n'était déjà pas des plus riches. Des clochards, des SDF, des mendiants, des petits chanteurs... Tout cela inquiétait fort la famille, en particulier Meadley qui avait tendance à faire les gros yeux lorsqu'elle voyait un clochard sans jambes s'approcher pour lui demander une pièce, elle en avait peur. Et pourtant, elle était gentille, Meadley, elle était sensible au malheur des autres, Meadley, et elle lui aurait bien donné une pièce...si elle avait su compter en yens. Le Japonais n'était pas une langue facile, leur système de monnaie n'était pas non plus simple et leur écriture encore moins, il était dur pour une petite fille, comme pour un petit garçon, de s'y faire, même un génie. Leur nouvelle maison était pourtant plus que luxueuse par rapport à celle des autres habitants du quartier, ils n'avaient presque tous aucun travail. En revanche, contrairement à ces derniers, les O'Sullivan trouvèrent assez vite un emploi.

Bien vite, les quatre enfants O'Sullivan entendirent parler de ce pensionnat Kyogi, et supplièrent leurs parents de les y inscrire au concours d'entrée. Ils débarrassèrent la table, firent du baby-sitting, restèrent sages pendant quelques jours qui leur sembla des siècles, firent la promesse de ne pas se faire tatouer, ni percer, ne touchèrent aucun pétards, ne mirent feu à aucune maison, se mirent à supplier leurs parents, à genoux, à leurs pieds. Puis à gémir, s'énerver, se révolter, Meadley alla jusqu'à chouiner, puis vanter les mérites du pensionnat. Leurs parents acceptèrent la proposition lorsqu'ils virent que leurs enfants se battaient pour faire les corvées, ce qui les inquiéta un peu et leur prouva leur détermination à aller dans cette foutue école de formation de jeunes talents. Les quatre étaient persuadés aller du côté des sportifs, c'était leur rêve et leur but, ils étaient prêts à tout pour le faire.

Alors ils passèrent le test, ils firent le concours et, comme les neuf dixième des personnes présentes au pensionnat, ils furent forcés à participer au Epic Fake Project, c'est-à-dire à passer par la chirurgie. Pour les trois grands, ça n'était pas un très grand sacrifice, même si ils s'étaient mis à paniquer sur le coup, mais ce fut la petite Meadley qui s'en inquiéta le plus. Ses frères avaient beau essayer de la convaincre que ça n'était rien, elle était totalement paniquée et ne voulait rien entendre, elle se protégeait les oreilles constamment de peur qu'on les lui abîme avec la chirurgie. Le jury les avait jugées trop décollés, on souhaitait les lui recoller. Puis ce fut à son tour de passer sur la table d'opération, la dernière, après ses frères.

« T'inquiète pas, Meadley, c'est rien se faire refaire les oreilles, moi c'était le nez, j'ai du respirer par la bouche pendant une semaine ! »
« ...Et ça fait mal ? »
« Pire que ça ! Au départ, t'as l'impression que t'as même plus de nez, puis t'es obligé de porter un bandage. Le pire c'est quand ça s'infecte et que y'a du pus qui sort du nez, ou du sang qui gicle d'un seul coup ! Mais je crois que le pire des pire, c'est quand tu te réveilles pendant l'opération ! »
« Mamaaan... »
« Mais t'inquiète pas, c'est rien, moi aussi j'ai du y aller et tu y passeras aussi, on n'y peut rien ! Personne n'est parfait. En plus, Jayson dit n'importe quoi, c'est qu'un crétin. »

Elle dut réfléchir un moment avant de s'y lancer, mais elle le fit, non sans un petit pincement au cœur. Elle avait peur pour ses oreilles, elle aimait ses oreilles. Elle n'étaient ni trop grandes, ni trop petites, juste un peu décollées. Meadley se demandait bien si tous les pensionnats faisaient ce genre de chose à leurs élèves, et c'est à partir de ce moment qu'elle réalisa, un peu trop tard, que ce n'était pas normal. L'ancienne école de Kenny l'avait énormément sermonné à propos de son gros tatouage au bras, mais cette nouvelle école les incitait à passer par la chirurgie. Quelque chose était plus que louche, mais lorsqu'elle s'en rendit compte, il était bien trop tard. Alors, elle en fit part à ses frères. Jayson trouvait ça cool, Kenny avait tendance à trouver ça cool aussi, seul Phil avait plutôt l'air inquiet, comme sa petite sœur.

« Alors, comment ça s'est passé ? »
« Je me sens comme quand Jayson et Phil m'ont mit dans la machine à laver, je sens même plus mes oreilles, c'est génial ! Quand je vais raconter ça aux copains... »

Puis ils y entrèrent, après qu'on leur ait dit qu'il ne fallait en aucun cas révéler leur vraie identité, pour Kenny, Jayson et Phil, et parler de leur chirurgie. Mais, malheureusement, ils n'étaient pas au bout de leurs surprises. Au lieu d'entrer chez les Crus comme ils l'avaient rêvé, souhaité haut et fort, puis espéré. Jayson entra chez les Venter, pour ses capacités à cuisiner comme un dieu, sa cuisine était plus qu'excellente et manger ne serait-ce qu'une petite bouchée de ses délicieux petits plats menait droit au Paradis tant il cuisinait bien. Phillip, quant à lui, se retrouva chez les Visionem, spécialisé en écriture, car son niveau d'écriture était fabuleux, ses histoires passionnantes et entraînantes, et son imagination débordante. Sans énorme surprise, Meadley se retrouva chez les Cerebrum, elle était un cerveau à patte, la rivale d'Eistein, capable de comprendre tous les fonctionnements de n'importe quoi, même les plus compliqués, sans études au préalable. Puis, comme prévu, Kenny, qui avait fini ses études depuis peu, devint un jeune surveillant, pas vraiment très compétant et plutôt tire-au-flanc, mais surveillant quand même.

Malgré ça, toute cette histoire restait louche...
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Vanity

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Bienvenue petite chose numéro 2 :3 ~
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Soul

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SO CUTE ! Bienvenue charmante enfant.
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Pale Knight

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MessageSujet: Re: ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. »   ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. » EmptyJeu 3 Jan - 11:57

This. Seems. So. Freaking. Funny. ♠
[Et en plus c'est une américaine ♦]
Bienvenue ~
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Shine

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MessageSujet: Re: ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. »   ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. » EmptyJeu 3 Jan - 12:20

Bienvenue chère poussin, amuse toi bien parmis nous! ♥
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EPIC•FAKE

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MessageSujet: Re: ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. »   ♛ ▬ M E A D L E Y • « o h. d a r l i n g. I. w i s h. y o u. w e r e. h e r e. » EmptyJeu 3 Jan - 14:12



Bonjour/Bonsoir,

Je vous remercie de vous être inscrit ! Nous espérons de tout cœur que vous allez vous plaire ici. En tout cas, nous avons le plaisir d'annoncer votre validation. Vous pouvez désormais commencer à RP, sans oublier d'aller recenser votre avatar. Cordialement.
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Meadley O'Sullivan

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Merci à tous pour l'accueil, c'est chou ♥ !
Et merci pour la validation, au passage, c'était du rapide. **
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