• PRÉNOM & NOM ORIGINEL | Akhilesh Dashston
• SEXE & ORIENTATION | Masculin, bisexuel
• ÂGE | 19 ans

• LIEU DE NAISSANCE | Delhi, Inde
• SURNOM (NOM DE SCENE) | Sur les registres de l’établissement, Trump.
Se présente toujours comme Jester, ou Rule, selon les gens.
• GROUPE & SPÉCIALITÉ | Faciem ; Prestidigitateur

I'm sexy and I know it °

♪Insouciant ♪Habile de ses mains ♪Gourmant ♪Malicieux ♪Retors ♪Aime être propre sur lui ♪Entêté ♪Intelligent ♪Sourit en toute circonstance ♪Flutiste à ses heures ♪Adore tout ce qui brille ♪Partage une passion égale pour les oeuvres de Doyle et de Carrol ♪Déprécie le fonctionnement de Kyogi ♪Il a des bases solides en chimie, même si ce qui l’intéresse, c’est uniquement les phénomènes que produisent les réactions – feu, bruit, fumée, somnolence – que ce qui se passe dans ses préparations. ♪ Est sujet à des sauts d’humeurs de temps à autre, durant lesquels il peut devenir violent, mais ils arrivent assez rarement, et pour le moment, il a pu garder cela secret, puisque ça entacherait vraiment sa réputation au sein de Kyogi. ♪ Womanizer.
♫Mesure 1m82, voire plus les bras levés ♫A des cheveux longs, violet tirant sur l’indigo, qu’il attaché généralement ♫A des yeux d’ambre ♫Porte de discrètes boucles d’oreille ♫N’a pas un corps excessivement musclé, mais se défend tout de même drôlement bien au cricket. ♫ Porte généralement une simple chemise blanche avec un pantalon noir, avec des chaussures assorties, sauf lorsqu’il fait son show, ou bien qu’il passé un entretien de presse, il arbore alors toujours un smoking et un noeud papillon blanc. Cependant, la tenue varie avec son humeur~

I feel so crazy to night °

Q : Depuis combien de temps êtes-vous arrivez à Kyogi ?
R : Je suis dans l’établissement depuis maintenant trois ans. Le temps passé à une vitesse ! Hier j’entrai ici, demain j’en sors !

Q : Comment s'est passé votre examen ?
R : Et bien, j’ai eu peur pendant tout l’entretien. Autant le passage écrit n’a pose aucun soucis, non monsieur, aucun, autant les arcanes de la Magie que j’étudie sont changeantes, et j’ai craint que je ne fasse une erreur qui ne fasse perdre tout son intérêt à mon spectacle !

Q : Quelle a été votre première impression ?
R : J’étais déjà content d’être reçu. Et puis les gens sont incroyablement gentils ici, dès l’instant où on donne l’impression d’être à l’aise. Et les impressions, c’est la base de la Magie. ♥

Q : Pourquoi avoir choisi ce surnom ?
R : En hommage à celui qui a bercé mon enfance, Lewis Carroll. Dans Alice’s Adventures in Wonderland, le Chat de Cheshire passe son temps à disparaitre. Et si je ne disparais pas moi-même, je suis très doué pour faire disparaitre les choses. Comment ça c’est sans rapport avec mon surnom ? Mais je vous renvoie à la lecture de ce passage alors ♠

Q : D'après vous, quelles sont vos capacités pour réussir ?
R : Mais le talent naturellement, quelle question ! Non mais plus sérieusement, ce que je fais, c’est donner matière à rêver aux spectateurs. S’ils sont heureux, j’ai déjà réussi.

Q : Que pensent les autres élèves de vous ? Et les Deos ?
R : Oh vous savez, mes camarades m’aiment bien. Je vous l’ai déjà dit, être avenant et amusant, c’est la recette de la popularité. Quant aux Deos, et bien je crois que mon travail, même si je suis loin d’en avoir fini avec mon apprentissage, il reste près de deux ans, leur a donné satisfaction jusqu’à maintenant, puisque je suis aussi appliqué en cours magistraux que durant la préparation d’un spectacle.


Q : Êtes-vous passé par la chirurgie ?
R : On m’a retire quantité de petites et moins petites cicatrices qui étaient sur mon corps depuis bien longtemps, de la coupure à une joue avec une carte à la peau d’un poignet tordue par les flammes, pour que j’ai l’air plus “attirant”. Mais vous allez oublier cela, je le veux *agite un pendule*

Once upon a time, I... °

Aki nait en octobre le onze ou le treize, il n’a jamais été clair là-dessus. Père anglais, mère indienne. Il vit et fait sa scolarité en Inde, sa mère refusant qu’il ne la quitte, et elle-même refusant de quitter ses parents. Si ce n’est son prénom, il n’a à peu près rien d’indien, et ce n’est pas sa sur-protective de mère qui le motive à s’intéresser aux traditions hindous. Capable de parler dans un anglais correct au bout de seize mois d’existence, il est capable de lire tout seul à quatre ans. Devant tant de facilité, son père décide de le retirer de son école, au désarroi maternel comme toujours, et lui fait donner des leçons particulières. Cependant, à six ans, Aki découvre les jeux de cartes, et son père, plutôt que de lui apprendre à jouer à la bataille, lui montre des petits tours de passe-passe que lui-même réalisait étant plus jeune, quand il voulait gagner de l’argent pour payer sa consommation dans un bar. En vrai petit singe, l’enfant imite bientôt parfaitement son paternel, et celui-ci, enjoué, se sentant rajeunir à travers son fils, lui achète des livres de magie, si bien qu’à dix ans, Aki produit son premier spectacle, une demi-heure au cours de laquelle il amuse un petit théâtre de Dehli. Sa mère n’approuve toujours pas ce qu’il fait, de la « sorcellerie », des actes impies en somme. Elle n’en reste pas moins heureuse de voir son fils ramener au foyer des sous chaque fois, assez en somme pour subvenir à ses besoins en nourriture. Pour autant, il ne délaisse pas ses études plus générales, ayant compris à force d’entendre son père le dire avec joie que c’est à son âge que son cerveau peut retenir le plus de choses. A douze ans, il donne son premier spectacle où il utilise du feu, du vrai. A la troisième représentation, il a le malheur de mal avoir enduit un de ses poignets, qui subit donc une brûlure assez sérieuse. En ôtant le bandage après un mois, il prend conscience que toutes les égratignures sur ses bras sont autant de ratages dans la préparation de sa magie, et qu’il doit peut-être cesser les expérimentations sans évaluation des risques. Il est soulagé du fardeau de sa mère à treize ans, car elle accouche d’une petite sœur, Ekaja. Insulté par ce nom, qui signifie « fille unique », il n’acceptera jamais vraiment cette enfant, qui pourtant l’avait enchanté alors qu’elle n’avait pas encore de nom. Enfin, son père reste plus proche de lui, voir ignore complètement sa fille, voyant comme un signe que l’éducation de sa femme est défaillante le fait qu’Ekaja parle à peine à deux ans, et qu’elle reste en permanence collé dans les jupes de sa mère, qui « l’entretient dans ce rêve où elle serait pour toujours un nouveau-né », selon les mots d’Henry.
Bientôt, les parents se séparent, chacun gardant un enfant avec lui.
Aki ira donc vivre deux ans en Angleterre, à Manchester, avant que son père, voyant quand son fils a décidé de faire de la Magie son métier, ne décide de l’envoyer à l’endroit où il sera le mieux encadré, bien mieux que par n’importe quel livre, à Kyogi, pensionnat mondialement reconnu comme le meilleur quant aux arts.
Il y postule comme Faciem, mais ses résultats à l’écrit poussent le jury qui sert de public à sa prestation, où il fait disparaitre et léviter des meubles, se défait de chaînes, avale des épées, à lui proposer, avec insistance, d’intégrer les Cerbero. Se mordant les doigts d’avoir voulu tout faire parfaitement, il se lance donc dans un discours sur le rêve et le bonheur, dont il ressort qu’il a postulé ici pour rendre heureux en amusant, pas en étant assis devant un bureau, qu’il n’est pas un homme de l’ombre, que c’est la lumière qui l’attire, et que la magie est un bien meilleur remède à la morosité que n’importe quelle loi.
Il rejoint donc les rangs des Faciem, avec une nouvelle peau toute belle.
Sur ses trois premières années, il se lie d’amitié avec une foule d’étudiants, et prend pour habitude, une fois l’an, de rentrer chez lui, en Inde, donner des représentations dont tous les revenus, enfin la moitié, sont reversé à des associations caritatives. A partir de 2041, il recommence à se produire à d’autre but que le caritatif, et commence donc à rembourser Kyogi pour ses bons soins.

• SURNOM | Trop pour les dire ~
• ÂGE | Trop peu pour le dire ~

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